Quand j’ai le blues, la solution est Mambo.
Et quand je suis vraiment au fond du trou, c’est Mambo avec le chef Gustavo Dudamel et l’Orchestre national des jeunes Simón Bolívar du Venezuela.
Ce concert de nouvel an (2007) donné à Caracas m’a sorti alors d’un profond coma.
Bonheur et joie communicatifs, salle et public ensemble et moi qui retrouve mes esprits.
Ça commence par Perez Prado, ça fini par Leonard Bernstein et ça mérite un peu de volume.
Ensuite, petit clin d'œil en forme de cadeau d'anniversaire à une amie chorégraphe et professeur de danse qui j'espère s'y retrouvera. Mais oui il y a de l'art dans tout.