Il a déjà été plusieurs fois question de prouts et de pets sur ce blog. On peut tout retrouver ICI.
Force est de constater que c'est un sujet, parfois brûlant sur lequel on ne peut s'asseoir. Nouvelle note donc, avec de nouvelles représentations graphiques du pet. Et on ouvre cette note sous l'égide du dieu romain des flatulences, le dieu Crépitus.
Grands spectateurs de la flature,
Venez et confessez tout net
Qu'on reconnaît à ma posture
Le très salutaire dieu PET.
Lettrine décorée de la lettre "S" du code de Bruges de 1542.
Le pet puissant du bonnacon, tel que représenté dans MS Bodley 264, Flandres, 1344.
Mais je résiste au diable, et c'est souvent avec un pet que je le chasse. - Martin Luther
Du plus récent maintenant avec l'illustrateur Paul Bommer qui a réalisé une grande série de faux carreaux de Delft, dont quelques-uns se rapportent aux pets.
A voir au chateau d’Amagasaki au Japon. Pas trouvé l'auteur.
Fart Painting. John Kilduff. Huile sur toile. (En vente chez Saatchi !?)
Xavier Landry. 2014
Pas trouvé le nom de l'auteur de ce détournement.
Pour visualiser un pet, soit on possède une caméra thermique, soit on filme sous l'eau…
Après le plaisir des yeux, et parce que l'odorama n'est pas encore disponible quelques images du film du réalisateur italien Pasquale Festa Campanile Il Petomane, histoire du pétomane français Joseph Pujol ici interprété par Ugo Tognazzi.
Mais il s'agit ici d'une reconstitution, alors pour les puristes voilà ce que nous faisait véritablement entendre André Pujol en 1904.
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