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À peine la note sur "le prout" lâchée, un commentaire de Cosmo me signalait l’existence d’une illustration de pet par l’anglais Aubrey Beardsley (1872/1898). Je ne pouvais en rester là.
Où l’on découvre, que depuis fort longtemps on pète au nez des tout-puissants.
Lysistrata defending the Acropolis. Aubrey Beardsley.
Son illustration Art-Nouveau a servi dans les années 70 pour cette boucle de ceinture.
Un pet fleuri…
… ou pestilentiel dans Le Jardin des délices de Jérome Bosch.
Des caisses lachées à la face du Pape
John Bull (qui symbolise l'Anglais typique) envoie une perlouze au nez de George III
Extrait d'un bestiaire de 1633, on se protège des pets de bovins
Ça y est Le Répertoire 2012 des Macchabées célèbres est paru. L'imprimante a dégueulé ses dernières pages hier matin. Pliage, agrafage ont suivi et quelques exemplaires ont été postés aujourd'hui. Cette année, c'est Jean Topart qui a joué la montre et qui clos cette galerie de 116 macchabées. Comme d'habitude on peut obtenir un exemplaire en échange d'un portrait de votre macchabée célèbre préféré, réalisé par vos soins.
Pour ceux qui ne se sentent pas l'âme créatrice, il est mainenant possible de l'acheter. Tous les détails sont dans les commentaires de cette note.
Avec par ordre de disparition Répertoire 2012 des Macchabées Célèbres 32 pages. 116 portraits. Les Beaux Dimanches
On ne peut pas apprendre beaucoup de choses sur le parcours d’Isabelle Boinot sur internet. Par contre on peut voir presque tout son travail qu’il s’agisse de dessin, de broderie, de photo, de collages… que des choses qui m’intéressent.
Je connaissais son ABC des Stars (Alain Beaudet éditeur), et son Cahier Collection dans la Marge (Arts factory editions), sa participation à Frederic Magazine mais pas la vingtaine d’autres ouvrages qui les accompagnent dans une déjà imposante bibliographie.
Je mets ici en avant quelques unes de ses broderies, qui, je pense aiguiseront plus votre curiosité à découvrir le reste de ses productions ICI.
Vient de paraître au Dernier Cri – L’impubliable, le premier livre d’Adolpha Van Meerhaeghe qui est aussi la dernière production de Rémi.
Le récit d’Adolpha, Rémi se l’est pris en pleine poire en 2010 quand il était encore Roubaisien et qu’ils étaient voisins. Au départ quelques pages écrites en prison, puis 10 ans plus tard un atelier d’écriture d’ATD Quart-Monde qui prolonge le récit et enfin l’oreille attentive de Rémi pour laquelle des souvenirs plus anciens, l’enfance, la fratrie… viennent compléter l’histoire.
La vie d’Adolpha fut d’une noirceur que l’on soupçonne à peine. Une Vie bien renger d’Adolpha, le livre, nous le transmet sans détour. Rémi, en moine copiste, a tout recopié de sa plus belle écriture, sans retranscrire, remanier ou corriger donnant à ce langage brut encore plus de force.
Une vie bien renger d'Adolpha est un livre illustré pas un livre d'images.
On peut se le procurer en allant directement sur le site de Rémi, ICI.
Rémi c’est un illustrateur que je suis depuis longtemps et quand je dis suivre c’est au sens propre. Il ne tient pas en place, tant mieux pour lui sans doute, mais dur pour le documentaliste d’être exhaustif avec autant de supports : Sortez la Chienne, Hôpital brut, Le Petit Psikopat illustré, Réciproquement, Libé, Charlie… et les Informations Dieppoises (hebdo régional dont on m’envoyait le dessin d’actualité signé Rémi chaque semaine).
Les Dieppois, petits vernis avaient droit a un dessin de Rémi chaque semaine.
Heureusement Rémi a depuis longtemps pris les choses en main et a su s’autoéditer avec les éditions L’Impubliable où il a réuni bon nombre de dessins de presse. Pour le reste Le Dernier Cri, Le Chien Rouge et Les Requins Marteaux ont assuré la diffusion de ses autres dessins.
Dog, sculpture en bronze de Rémi photographié au Festival de Quend en 2009
Je n'ai jamais vu son exposition Panorama, qui regroupe des machines construites par lui et qui nous invite à faire un tour à l'époque du pré-cinéma, des théâtres optiques, du praxinoscope ou du tachyscope mais j'en crève d'envie.
On m'a gentiment confié ces petits films volés à Quend en 2009 lors de l'exposition Panorama au festival du film Grolandais.
La femme à barbe, une machine à images de l'exposition Panorama. Quend 2009. Film, Béatrice Bazin.
Lecaniche, une machine à images de l'exposition Panorama. Quend 2009. Film, Béatrice Bazin.
Aujourd'hui et pour une période inconnue, en cliquant sur l'icone de la page de recherche de Google apparaît une animation hommage à Little Nemo et son créateur Winsor McCay. C'est beau, c'est à voir pour du vrai.
Trouvée en brocante il y a déjà quelques temps cette plaquette éditée par la Délégation Régionale à la Famille de Lyon est hélas non datée. Un simple cahier accueille 7 planches imprimées au recto seul. Toutes les planches sont illustrées par Liliane de Christen et le texte pondu par on ne sait qui vaut son pesant d'or. (toutes les images peuvent être mises en grand format par un clic)
Une jeune fille dressée à sa tâche par l'enseignement ménager familial dominera le chaos…
Deux informations arrivées par courriel cette semaine.
Primo la parution aux Éditions de l’Oncle Archibald d’un ouvrage sur l’illustrateur Jef de Wulf. Surtout connu pour ses couvertures de romans populaires, il n’est pas mon préféré des dessinateurs qui s’attelèrent à l’illustration de ces milliers de parutions à bas prix mais tient une place honorable dans mon panthéon des illustrateurs.
C’est Philippe Aurousseau, auteur de l’article Le Pigalle de Jeff de Wulf dans le n° 29 des Papiers Nickelés qui a réuni ces couvertures et se penche sur le travail de cet illustrateur d’origine Belge.
Jef de Wulf, Dessinateur des fantasmes d’une époque. Philippe Aurousseau, Éditions de l’oncle Archiald 136 pages, plus de 800 illustrations (couvertures, publicités, dessins…)
Passionné, Philippe Aurousseau avait déjà réuni nombre de visuels sur le blog Jef de Wulf dont sont issues les images qui suivent.
Seconde nouvelle, celle du concert du Duo des Falaises, qui jouera quasiment à domicile puisque le concert du samedi 15 septembre à 21h aura lieu à Mers les Bains au café O’Brien. Qu’on se le dise !
Une chose en amenant une autre, si vous allez à Mers faites les 500 mètres qui séparent le Café O Brien de l’ancien établissement Roulé (angle des rues Faidherbe et Maréchal Foch) où deux annonces en carreaux de faience ont résisté au temps.
Trouvés en brocante ce jeudi, plusieurs livres anciens dont un recueil annuel du journal La Petite Revue (son format est de 17,5 x 25 cm) de 1890. Peu d’illustrations intéressantes mais quelques brèves qui 120 ans plus tard trouveront leur place ici.
Pour commencer, de façon peu joyeuse il est vrai, ces illustrations tirées d’un article sur les abattoirs de La Villette, à la pointe de la modernité à l’époque, et qui étaient les premiers à utiliser cet étonnant "Masque de Bruneau", du nom de son inventeur, un boucher zoophile nous dit-on.
Les chevillards, éxécuteurs à la chaine
Bon entraînement pour les jeux de force de la Foire du Trône