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cinéma

  • Il est Bebel et bien mort

    C'était une grande fierté de mes 12 ans cette dédicace de Belmondo. Elle m'a poussé à faire quelques bêtises, grimper sur les toits, descendre des étages par les gouttières… comme autorisé par l'homme de Rio.

    Jean-Paul Belmondo,cinéma,cartes postales anciennes,peinture Laurent Jacquy

    Quand les paquets de clopes ont du arborer leurs messages anxiogènes, j'ai commencé une série de peinture de fumeurs, Bebel fut le premier.

    Jean-Paul Belmondo,cinéma,cartes postales anciennes

     Jean-Paul Belmondo. Fumer rend à bout de souffle. Peinture sur carton. 29 x 38 cm

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  • Willem

    Tiens Willem a réalisé une couverture pour Les Cahiers du Cinéma !

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    Cahiers du Cinéma, N° 262/263, janvier 1976.

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  • Please Mr Jailer

    Deux versions de Please Mr Jailer. La première, par sa créatrice Wynona Carr, enregistrement de 1955 une voix incroyable mais hélas pas d'images d'époque.

    La seconde est tirée du film Cry Baby (1990) de John Waters. La chanson est interprétée par  Rachel Sweet qui prête sa voix à l'actrice Amy Locane et James Intveld au tout jeune Johnny Depp. Une fois de plus John Waters s'en sort à merveille… et cette supplique à la libération de son petit ami est un excellent moment de comédie musicale

    Please Mr. Jailer

    Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?
    Please Mr. Jailer, won't you let me man go free?
    He don't belong in prison, though he's guilty as can be,
    But the only crime he's guilty of is simply loving me.
    Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?

    Well I know it won't be long now,
    'Till they cut his hair off too.
    Still I'm hoping there's one favor
    That I could beg of you. So...

    Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?
    Yeah yeah yeah

    Please Mr. Jailer, won't you let this jailbird free?
    Whoa ho ho

    Just look into his eyes, open up that door.
    Just listen to his guitar, you'll know the score.

    Please Mr. Jailer, let an honest man go free.

    Yeah yeah yeah

    Please Mr. Jailer, don't you make no lifer outta me.
    I'm innocent, I swear it. Let my woman testify,
    She'll tell you where I was that night,
    And I'll be satisfied.
     
    Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?
     
    Well I'm tired of pressing liscense plates down in this rotten hole,
    I gotta reach the outside before I lose control.
    Please Mr. Jailer, don't you make no lifer outta me.
     
    Yeah yeah yeah
    Please Mr. Jailer, let me out of this penitentiary
    (Whoa, let me out)
    Please Mr. Jailer, don't you make no lifer out of me.
     
    Please Mr. Jailer, won't you my man go free?
    Whoa ho ho oh, whoa ho, let my man go free.
    Whoa oh oh, don't make no lifer out of me.
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  • RIP Jean-Pierre Marielle

    Jean-pierre Marielle,cinéma,musique,chanson,Jean-Roger Caussimon,BO,La première chose qui m'est venue en tête en apprenant la mort de Marielle, n'a pas été un de ses films mais une chanson qu'il interprétait avec Jean Rochefort.

    Paris Jadis c'est son titre. La musique est de Philippe Sarde et les paroles de Jean-Roger Caussimon. La chanson accompagne le générique du film de Bertrand Tavernier Des enfants gâtés de 1977 dans lequel les deux acteurs ne jouent d'ailleurs pas.

     

     

    Paris Jadis par Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle

    Paris Jadis
    paroles Jean-Roger Caussimon
     
    Dans l’Paris des républiques 
    L’accordéon nostalgique a semé bien des musiques 
    Dont il reste des échos 
    Dans nos cœurs y’a des rengaines 
    Dont les rimes incertaines 
    Se prenaient pour du Verlaine du Bruant ou du Carco 
    Le chanteur des rues qui brame 
    "A vot’ " bon cœur, Messieurs-Dames ! 
    Paris s’ra toujours Paname 
    Et tout ça n’vaut pas l’amour ! 
    Lorsque les télés s’allument 
    Pauvre fantôme des brumes 
    S’en revient, succès posthume 
    Nous hanter au fond des cours 

    Et allez donc ! 
    Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! 
    Réveille un peu le piano à bretelles ! 
    A chaqu’fois qu’on l’entend on a les larmes aux yeux. 

    Paris c’est plusieurs villages 
    Et chacun a son visage 
    Le 16e a son langage 
    Et la Bastoche … a le sien 
    On y cause en argotmuche
    et Pantin ce dit Pantruche  
    Ménilmontant… Ménilmuche 
    Et le temps n’y change rien. 
    Moi j’aim’ bien la plac’ des fêtes 
    Et, les choses étant bien faites 
    Pas loin du tabac-buvette 
    Y’a l’église et la mairie 
    Moi je rigol’ quand je pense 
    A ceux qui partent en vacances 
    En Bretagne ou en Provence 
    Rien ne vaut l’air de Paris… 

    Et allez donc ! 
    Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! 
    Réveille un peu le piano à bretelles ! 
    On s’croirait au printemps et l’ciel est toujours bleu. 

    On sait bien de par le monde 
    Que « Paris c’est une blonde ! » 
    Et les visiteurs abondent 
    Il en vient de tous pays 
    La tour Eiffel les étonne 
    L’musée Grévin les passionne 
    Et la Seine, enfin, leur donne 
    L’attrait de ses quais fleuris… 
    Dans la lumière irisée 
    Ils s’en vont, l’âme grisée 
    Le long des champs Elysées 
    Et comprennent que Paris 
    Restera, quoiqu’il advienne 
    La capital’ souveraine 
    La seul’ l’unique, la reine 
    Par le cœur et par l’esprit 

    Et allez donc ! 
    Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! 
    Réveille un peu le piano à bretelles ! 
    Dans le genre exaltant 
    On n’pourrait pas fair’ mieux 

    La, la, la …
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  • Pornographisme

    affiches,typographie,illustration,cinéma,art modeste,éditoon,pornographismeIl ne reste qu'une semaine pour participer au financement du livre Pornographisme de Mickaël Draï et Christophe Chelmis.

    Ce livre à caractère  typographique n'existe que par l'interdiction faite aux cinémas pornos dès 1975 d'exposer sur leurs devantures des images trop explicites. Cette censure visuelle a obligé producteurs et distributeurs à inventer un nouveau modèle essentiellement basé sur la typographie, la couleur et la recherche de titres joyeusement plus concrets.

     

     

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  • Panique au village, suite

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    Stéphane Aubier et Vincent Patar préparent leur nouveau film d'animation. On n'en connaît pas le scénario, mais la présence de cochons dans la distribution ne fait aucun doute puisqu'ils sont à la recherche de figurines porcines et d'une grosse quantité apparemment.
    Ma participation sera minime avec le petit contingent ci-dessous qui rejoindra les studios de Bruxelles par courrier postal dès demain.
    Pour que vos cochons rencontrent pour de vrai Cowboy et Indien une seule adresse :

    Panique Sprl
    109, rue du Fort. 1060 Bruxelles. Belgique

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    Un petit rappel pour ceux qui ne connaîtraient pas Panique au village, un petit extrait du court métrage La bûche de Noël.

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  • Charlot est content de lui

    charlie Chaplin,charlot,cinéma,court métrage,film,peinture,laurent jacquy,jean Wiener,histoires sans paroles,télévisionIl y a 100 ans jour pour jour, le 7 février 1914, apparaissait pour la première fois à l'écran le personnage de Charlot. Dans ce premier court métrage, le vagabond stylé a maille à partir avec une équipe de tournage des actualités cinématographiques dont il dérange le tournage en s'imposant avec insistance dans les prises de vue. Faussement innocent, le dandy des bas quartiers, s'empare alors de l'écran pour une longue série de films (une soixantaine) pour les Studios Keystone.

    Charlie Chaplin.
    Série 100 familes. Famille Britanniques.
    Peinture sur bois Laurent Jacquy

     

     

     

    Charlot est content de lui de Henry Lehram. Keystone Studio. 1914.

    Une chose en amenant une autre je ne peux m'empêcher de repenser au petit air de Jean Wiener qui illustrait musicalement le générique d'Histoires sans paroles, l'émission de Solange Peter qui occupa le petit écran de 1964 au début des années 80. Séquence nostalgie…


    Musique de Jean Wiener d'après Chicken Reel morceau populaire américain de Josaph M. Daly.

    Les Studios Keystone que dirigea Mack Sennet ont fait l'objet d'une famille.

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    Famille Keystone Studio. Polly Moran, Mildred Davis, Mabel Normand, Fatty Arbuckle, Harold Lloyd, Mack Sennett.
    Série 100 familles. Peinture sur bois. Laurent Jacquy

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  • Fièvres

    affiches,cinéma,film,graphisme,muisique,addie,feverUne température anormalement élevée me tient au lit depuis quelques jours.
    C'est maintenant chose sûre, la liquéfaction des tissus méningés n'aide ni à la réflexion ni à l'action.

    Quelques affiches de cinéma et une version de Fever par la chanteuse Addie Hamilton, voilà tout ce dont je suis capable aujourd'hui.

     

     

     

     

     

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    Fever une version acoustique de Addie Hamilton

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  • Ray Harryhausen

    Ray Harryhausen,portrait,dessin,laurent jacquy,cinéma effets spéciauxRay Harryhausen est mort le 7 mai 2013.
    Ce petit film de 4'30" nous propose de revoir la totalité des monstres, dinosaures, squelettes… créés et animés par Harryhausen le tout sur le morceau Mon Ti joué par un Tito Puente déchainé. On peut donc monter le son
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    Ray Harryhausen.
    Dessin L. Jacquy. 2013

     

     

    Une chose en amenant une autre ce brontosaure qui hante ma jardinière.

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