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C'était une grande fierté de mes 12 ans cette dédicace de Belmondo. Elle m'a poussé à faire quelques bêtises, grimper sur les toits, descendre des étages par les gouttières… comme autorisé par l'homme de Rio.
Quand les paquets de clopes ont du arborer leurs messages anxiogènes, j'ai commencé une série de peinture de fumeurs, Bebel fut le premier.
Jean-Paul Belmondo. Fumer rend à bout de souffle. Peinture sur carton. 29 x 38 cm
Deux versions de Please Mr Jailer. La première, par sa créatrice Wynona Carr, enregistrement de 1955 une voix incroyable mais hélas pas d'images d'époque.
La seconde est tirée du film Cry Baby (1990) de John Waters. La chanson est interprétée par Rachel Sweet qui prête sa voix à l'actrice Amy Locane et James Intveld au tout jeune Johnny Depp. Une fois de plus John Waters s'en sort à merveille… et cette supplique à la libération de son petit ami est un excellent moment de comédie musicale
Please Mr. Jailer
Please Mr. Jailer, won't you let my man go free? Please Mr. Jailer, won't you let me man go free? He don't belong in prison, though he's guilty as can be, But the only crime he's guilty of is simply loving me. Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?
Well I know it won't be long now, 'Till they cut his hair off too. Still I'm hoping there's one favor That I could beg of you. So...
Please Mr. Jailer, won't you let my man go free? Yeah yeah yeah
Please Mr. Jailer, won't you let this jailbird free? Whoa ho ho
Just look into his eyes, open up that door. Just listen to his guitar, you'll know the score.
Please Mr. Jailer, let an honest man go free.
Yeah yeah yeah
Please Mr. Jailer, don't you make no lifer outta me.
I'm innocent, I swear it. Let my woman testify, She'll tell you where I was that night, And I'll be satisfied.
Please Mr. Jailer, won't you let my man go free?
Well I'm tired of pressing liscense plates down in this rotten hole, I gotta reach the outside before I lose control. Please Mr. Jailer, don't you make no lifer outta me.
Yeah yeah yeah
Please Mr. Jailer, let me out of this penitentiary (Whoa, let me out) Please Mr. Jailer, don't you make no lifer out of me.
Please Mr. Jailer, won't you my man go free?
Whoa ho ho oh, whoa ho, let my man go free. Whoa oh oh, don't make no lifer out of me.
La première chose qui m'est venue en tête en apprenant la mort de Marielle, n'a pas été un de ses films mais une chanson qu'il interprétait avec Jean Rochefort.
Paris Jadis c'est son titre. La musique est de Philippe Sarde et les paroles de Jean-Roger Caussimon. La chanson accompagne le générique du film de Bertrand Tavernier Des enfants gâtés de 1977 dans lequel les deux acteurs ne jouent d'ailleurs pas.
Paris Jadis par Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle
Paris Jadis paroles Jean-Roger Caussimon
Dans l’Paris des républiques L’accordéon nostalgique a semé bien des musiques Dont il reste des échos Dans nos cœurs y’a des rengaines Dont les rimes incertaines Se prenaient pour du Verlaine du Bruant ou du Carco Le chanteur des rues qui brame "A vot’ " bon cœur, Messieurs-Dames ! Paris s’ra toujours Paname Et tout ça n’vaut pas l’amour ! Lorsque les télés s’allument Pauvre fantôme des brumes S’en revient, succès posthume Nous hanter au fond des cours
Et allez donc ! Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! Réveille un peu le piano à bretelles ! A chaqu’fois qu’on l’entend on a les larmes aux yeux.
Paris c’est plusieurs villages Et chacun a son visage Le 16e a son langage Et la Bastoche … a le sien On y cause en argotmuche
et Pantin ce dit Pantruche Ménilmontant… Ménilmuche Et le temps n’y change rien. Moi j’aim’ bien la plac’ des fêtes Et, les choses étant bien faites Pas loin du tabac-buvette Y’a l’église et la mairie Moi je rigol’ quand je pense A ceux qui partent en vacances En Bretagne ou en Provence Rien ne vaut l’air de Paris…
Et allez donc ! Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! Réveille un peu le piano à bretelles ! On s’croirait au printemps et l’ciel est toujours bleu.
On sait bien de par le monde Que « Paris c’est une blonde ! » Et les visiteurs abondent Il en vient de tous pays La tour Eiffel les étonne L’musée Grévin les passionne Et la Seine, enfin, leur donne L’attrait de ses quais fleuris… Dans la lumière irisée Ils s’en vont, l’âme grisée Le long des champs Elysées Et comprennent que Paris Restera, quoiqu’il advienne La capital’ souveraine La seul’ l’unique, la reine Par le cœur et par l’esprit
Et allez donc ! Envoie la ritournelle de la chanson gnangnan et chauvine et vieux jeu ! Réveille un peu le piano à bretelles ! Dans le genre exaltant On n’pourrait pas fair’ mieux
Il ne reste qu'une semaine pour participer au financement du livre Pornographisme de Mickaël Draï et Christophe Chelmis.
Ce livre à caractère typographique n'existe que par l'interdiction faite aux cinémas pornos dès 1975 d'exposer sur leurs devantures des images trop explicites. Cette censure visuelle a obligé producteurs et distributeurs à inventer un nouveau modèle essentiellement basé sur la typographie, la couleur et la recherche de titres joyeusement plus concrets.
Stéphane Aubier et Vincent Patar préparent leur nouveau film d'animation. On n'en connaît pas le scénario, mais la présence de cochons dans la distribution ne fait aucun doute puisqu'ils sont à la recherche de figurines porcines et d'une grosse quantité apparemment. Ma participation sera minime avec le petit contingent ci-dessous qui rejoindra les studios de Bruxelles par courrier postal dès demain. Pour que vos cochons rencontrent pour de vrai Cowboy et Indien une seule adresse :
Panique Sprl 109, rue du Fort. 1060 Bruxelles. Belgique
Un petit rappel pour ceux qui ne connaîtraient pas Panique au village, un petit extrait du court métrage La bûche de Noël.
Il y a 100 ans jour pour jour, le 7 février 1914, apparaissait pour la première fois à l'écran le personnage de Charlot. Dans ce premier court métrage, le vagabond stylé a maille à partir avec une équipe de tournage des actualités cinématographiques dont il dérange le tournage en s'imposant avec insistance dans les prises de vue. Faussement innocent, le dandy des bas quartiers, s'empare alors de l'écran pour une longue série de films (une soixantaine) pour les Studios Keystone.
Charlie Chaplin. Série 100 familes. Famille Britanniques. Peinture sur bois Laurent Jacquy
Charlot est content de lui de Henry Lehram. Keystone Studio. 1914.
Une chose en amenant une autre je ne peux m'empêcher de repenser au petit air de Jean Wiener qui illustrait musicalement le générique d'Histoires sans paroles, l'émission de Solange Peter qui occupa le petit écran de 1964 au début des années 80. Séquence nostalgie…
Musique de Jean Wiener d'après Chicken Reel morceau populaire américain de Josaph M. Daly.
Les Studios Keystone que dirigea Mack Sennet ont fait l'objet d'une famille.
Famille Keystone Studio. Polly Moran, Mildred Davis, Mabel Normand, Fatty Arbuckle, Harold Lloyd, Mack Sennett. Série 100 familles. Peinture sur bois. Laurent Jacquy
Une température anormalement élevée me tient au lit depuis quelques jours. C'est maintenant chose sûre, la liquéfaction des tissus méningés n'aide ni à la réflexion ni à l'action.
Quelques affiches de cinéma et une version de Fever par la chanteuse Addie Hamilton, voilà tout ce dont je suis capable aujourd'hui.
Ray Harryhausen est mort le 7 mai 2013. Ce petit film de 4'30" nous propose de revoir la totalité des monstres, dinosaures, squelettes… créés et animés par Harryhausen le tout sur le morceau Mon Ti joué par un Tito Puente déchainé. On peut donc monter le son.
Ray Harryhausen. Dessin L. Jacquy. 2013
Une chose en amenant une autre ce brontosaure qui hante ma jardinière.